• In my mailbox (157)

    In my mailbox (157)

    Bonjour les choux!!

    La semaine a senti l'été à plein nez!! Et les maisons d'édition savent qu'été rythme avec lecture. Du coup, j'ai reçu pleiiiiiin de jolies choses.

    L'édition Sarbacane m'a envoyé un phénomène.

    In my mailbox (157)

    Anatole et l'école, c'est une longue suite de rendez-vous manqués. Il faut dire qu'avec sa dégaine d'ado balourd et sa tignasse de cheveux qui lui tombent devant les yeux, il n'a pas l étoffe d un héros. Du moins, à première vue. Car en regardant mieux, on pourrait s apercevoir qu il a un sourire craquant... et aussi un don : celui de voir les fantômes.
    Le fantôme de Philomène, une jeune fille morte en 1870, dans l accident de la filature qui se tenait à la place du collège.
    Repérer un fantôme, c est déjà pas banal. Mais
    quand ce fantôme vous apprend qu un grave danger menace la vie de tous les élèves et que vous seul pouvez les sauver, ce rendez-vous-là, pas question de le rater !

    L'édition Archipel m'offre un mystère et une histoire d'amour.

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    8 juillet 1947. Un communiqué de la base de bombardiers  atomiques de Roswell (Nouveau-Mexique) annonce la découverte  d’un de ces mystérieux « disques volants » que l’on signale  alors un peu partout. La nouvelle est démentie le soir même  par le quartier général de la 8e armée aérienne. Ce n’était  qu’une regrettable confusion avec… un ballon météo !
    Durant un demi-siècle, un secret absolu a régné sur cette  affaire, en dépit de dizaines de témoignages attestant de la  réalité de l’incident. Puis, en 1995, le Pentagone se décide à  révéler « la vérité » : il s’agissait en réalité d’une vingtaine de  ballons. Pourquoi l’avoir caché ? Parce qu’il s’agissait d’essais  militaires pour détecter dans l’atmosphère d’éventuels essais  atomiques soviétiques. Quant à la présence de corps d’humanoïdes  sur les lieux du crash, ce n’était que des mannequins  en bois destinés à tester des parachutes.
    Ces explications, hélas, ne résistent pas à l’examen.  Que s’est-il vraiment passé à Roswell ? En vingt années d’enquête,  Gildas Bourdais a réuni l’ensemble des pièces du dossier,  afin de reconstituer le fi lm de l’événement. Il présente  toutes les hypothèses sur l’« affaire », l’une des plus troublantes  – et des plus controversées – quant à l’existence de lointains  « visiteurs ». L’enjeu est d’une portée considérable : il s’agit de  mettre fi n à la politique du secret qui continue d’étouffer les  observations d’ovnis faites depuis des décennies.

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    Nouvelle-Zélande, 1875. Lizzie et Michael Drury cultivent l'espoir d'un jour posséder leur propre domaine. Mais ces perspectives heureuses sont soudain balayées par la disparition de leur fille adoptive, Matariki, kidnappée par un chef maori... Pendant que Michael se démène pour retrouver sa fille, Katherine Burton - l'ancienne fiancée de Michael - apprend une nouvelle plus heureuse : son fils Colin revient en Nouvelle-Zélande. Mais nul ne mesure les conséquences de ce retour pour ces deux familles ... Une nouvelle fois, Sarah Lark fait la part belle à ses héroïnes, et au combat qu'elles mènent pour conquérir liberté et indépendance, dont le droit de vote - la Nouvelle-Zélande étant le premier pays au monde à l'avoir adopté.

    L'édition De Borée m'a envoyé trois belles nouveautés.

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    Adélaïde, Émeline et Marie tiennent une auberge de bonne réputation.
    Les hommes du village sont choyés par ces excellentes cuisinières, d'humeur égale et qui savent se faire respecter. Mais, un matin d'hiver, pourtant, l'établissement ferme. Comme chaque année, à la même époque, les soeurs disparaissent quelques semaines, laissant voyageurs et villageois presque orphelins. Où et pourquoi partent-elles ainsi sans rien dire ? Tous sont torturés par le doute et la jalousie...

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    Gard, fin du XIXe siècle. Amélie, douée pour les études, rêve de devenir institutrice. La mort de sa mère, à la naissance de sa dernière soeur, a obligé les sept enfants à se débrouiller. C'est Elise, l'aînée, qui s'est sacrifiée pour s'occuper de la fratrie. Le père, garde forestier, n'a pas beaucoup de moyens pour élever sa nombreuse descendance. Soutenue par son institutrice, Amélie va tout de même réussir à poursuivre ses études, tout en travaillant comme fileuse de soie pour couvrir les dettes de la famille. Passant ses soirées dans les livres, elle décrochera son bac et intégrera l'Ecole normale d'instituteurs. Mais son premier poste ne se passera pas sans difficultés, les habitants du village où elle est envoyée n'appréciant pas ses idées libérales. Amélie parviendra-t-elle à s'imposer ? Trouvera-t-elle l'amour ?

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    Les bateaux reviennent chargés de sardines, les femmes ne ménagent pas leur peine à la conserverie et les petites mains s'agitent à la fileterie. Au port, chacun travaille dur pour apporter de l'argent à la maison et les pêches heureusement sont miraculeuses. Pourtant Angélique aimerait échapper à son destin tout tracé en s'instruisant. La rencontre avec la comtesse de Kéradec, qui l'engage comme apprentie dentellière, va ouvrir les portes de son rêve...

    Et enfin J'ai reçu la masse critique de babélio

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    La Belle Époque est incarnée par les trois « Belles » Gloires Françaises. Cette « French Touch » avant-gardiste se compose d’un trio de choc qui a marqué, entre autres, le monde de l’hôtellerie et de la restauration françaises. Elles sont les ambassadrices d’un univers idéalisé par les touristes internationaux. La recette est fort simple : prenez de la gastronomie, ajoutez-y des hivernants, des artistes, des demi-mondaines, sans oublier notre ruralité, saupoudrez le tout des arts et lettres et vous obtiendrez ce mets délicat qui incarne l’art de vivre à la Française. Présentez l’ensemble sur un plateau d’argent de la Belle Époque et le tour est joué. Vous aurez ainsi mis en valeur cette France à la fois insoumise et rigoureuse, corsetée dans ses traditions ancestrales et du « qu’en dira t-on ». Cette Trinité des bons vivants que ces personnalités incarnent depuis plus d’un siècle dans la gastronomie, la culture et les sentiments, sont devenues d’immenses figures féminines qui, sans le vouloir, ont traversé le siècle. Femmes modestes au destin remarquable, elles sont, ici, réunies pour la première fois, vous offrant un premier aperçu de ce triptyque féminin exceptionnel qui reflète, à tout jamais, les «  Belles » de « La Belle Époque » : « La Belle Angèle », « La Belle Otero », « La Belle Meunière ».

    Et vous, qu'avez-vous découvert?

     
    « L'araignée est une fine mouche et Le cachalot nage dans le potage d'Emmanuel TREDEZC'est lundi, que lisez-vous? (168) »
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  • Commentaires

    1
    Dimanche 28 Mai 2017 à 08:41

    Nous avons le pépix en commun je te souhaite de très belles lectures et un excellent dimanche

    2
    Dimanche 28 Mai 2017 à 10:44
    Cyan

    ça m'a l'air bien sympa, tout ça! :)

    Bonnes lectures!

    Cette semaine je n'ai rien acheté, c'est à marquer d'une pierre blanche ^^

    3
    Dimanche 28 Mai 2017 à 14:07

    Bonnes lectures et bonne semaine :)

    4
    Dimanche 28 Mai 2017 à 15:47

    Belles réceptions ! bon dimanche et bonne lecture

    5
    Dimanche 28 Mai 2017 à 22:52

    Je ne connais aucune de tes acquisitions, mais certaines ont l'air très très chouettes !

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