• Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant surle blog de Galleane.


    Il s'agit de répondre à trois questions:
    1. Qu'ai-je lu la semaine passée?
    2. Que suis-je en train de lire?
    3. Que lirai-je après?












    Espagne, XIe siècle: la péninsule est morcelée en une multitude d'États. Au Nord, quatre royaumes chrétiens: Aragon, Navarre, comté de Barcelone, et le puissant royaume de Castille et León. Au Sud, sur les ruines du califat omeyyade de Cordoue, sont nés plusieurs dizaines de principautés musulmanes, les taïfas, plus prompts à se battre entre elles qu'à lutter contre la puissance renaissante de la chrétienté. Dans cette Espagne compliquée où vont s'affronter, dans une lutte à mort, les ambitions rivales des Almoravides du Maroc, de l'émir de Séville – le prince-poète al-Mutamid – et du roi de Castille et León Alphonse VI, deux destinées vont se croiser: celle de Zaïda, jeune princesse mauresque, fille d'Itimad al-Rumaikiyya, favorite de l'émir de Séville, et celle d'Alphonse VI. Bientôt le roi de Castille et León s'empare de Tolède, et al-Andalus est conquise par les Almoravides. La princesse Zaïda choisit alors de s'exiler à la Cour d'Alphonse VI, au palais al-Hizam, théâtre d'une guerre feutrée entre clans rivaux: d'un côté les Bourguignons de la reine Constance et de Bernard de Sauvetat, archevêque-primat de Tolède; de l'autre la belle maîtresse du roi, Chimène Nuñez de Guzman et les ricos homes de Castille... Zaïda saura-t-elle s'imposer alors que, sous couvert de religion, les ambitions se déchaînent?


    Russie, février 1959. Ils s'appellent Igor, Aleksandr, Roustem, Zina, Lioussia, Iouri, Gueorgui et Nikolaï. Ils sont jeunes, enthousiastes, idéalistes. Ils veulent célébrer le XXI e congrès du Parti communiste en accomplissant un exploit sportif. Mais de leur expédition dans l'Oural, ils ne reviendront jamais. Des années plus tard, Ania décide de mener l'enquête. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi les a-t-on retrouvés morts, leurs cadavres marqués d'atroces blessures, loin de leur campement ? Pourquoi l'affaire a-t-elle été classée secrète ? Un document précieux sur la vie des jeunes Soviétiques en pleine période de dégel, mais avant tout une histoire incroyable qui se lit comme un thriller et qui, à mesure que progressent les investigations de la narratrice, devient de plus en plus terrifiante.



    En 1931, appelé en urgence à la ferme de Jolidou, le docteur Favre découvre une femme en état de choc. Il reconnaît alors sa jeune « patiente à éclipses », la jolie Elise Foulonnier, qui restait prostrée dans sa salle d'attente et, son tour venu, fuyait son cabinet. Elle vient d'accoucher et affirme que son chien a dévoré l'enfant mort-né. Mais nulle trace de sang sur les babines de l'animal.
    Elise demande le secret. Cas de conscience extrême pour Favre. Doit-il signaler aux gendarmes ce qu'il pense être un infanticide ? Au village de Pierpont, on commence à jaser... La veuve Ribier, elle, avait bien remarqué la grossesse d'Elise. La rumeur enfle, se propage, relayée par de vieilles commères : et si l'enfant était celui du « respectable » docteur qui l'aurait fait disparaître ?

    Et vous, que lisez-vous?
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  • Bonjour bonjour!!

    Nous voilà arrivés à dimanche, avec toutes les bonnes choses que cela comporte.

    Et notamment les réceptions littéraires de la semaine.

    Un seul livre est venu me rejoindre.

    L'édition Ecriture m'a proposé ce roman






    Tilman Wölzinger n'est pas un garçon ordinaire. A dix-sept ans, il mesure déjà plus de deux mètres, et sa croissance est loin d'être terminée. Car Tilman grandit, grandit encore...

    Tilman le géant - ainsi le surnomme-t-on désormais - souffre de sa différence, qui l'éloigne peu à peu de ses semblables. D'autant qu'il ne grandit pas seulement en taille, mais aussi en sagesse et en savoir.

    Comment s'accepter si l'on ne cesse de changer? Comment dépasser sa condition? Après La corde, Stefan aus dem Siepen propose un nouveau conte philosophique qui, dans le sillage de Herma

    Et vous, qu'avez-vous découvert?
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  • Hello les amis!

    Comment allez-vous?

    Nous voilà arrivés à samedi, avec un nouveau tiercé que nous propose Selene.

    Le thème proposé cette fois est: Les trois livres dont le titre vous a le plus attiré

    J'ai eu très souvent des arrêts devant certains livres, mais c'est relativement souvent à cause de leurs couvertures. L'exercice demandé aujourd'hui demande réflexion du coup.
    Mais j'en ai trouvé. 

    Voilà mon top 3


    Coeur cerise... en dehors de la couverture que j'adore (gourmande comme je suis), ce petit nom m'a plu. Tout doux, tout tendre, je n'avais qu'une envie: le lire!


    En ce lieu enchanté... J'avais l'impression que j'allais tomber dans une espèce de conte moderne. Eh non, pas du tout, même si je n'ai pas du tout été déçue.


    Le pays des contes! Rien qu'au titre, j'étais conquise. Bon ensuite, la couverture a joué pour beaucoup également, mais le titre ne pouvait que me parler, moi qui aime toutes les adaptations de contes de fées!

    Et vous, quel est votre tiercé?

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  • Nombre de pages: 250 pages
    Edition: ELP editeur

    Résumé: Quatorze appartements raconte le parcours initiatique de Véronique Roland. Fraîchement installée à Lyon, déçue par son mari et pressentant la routine qui la guette, elle décide de renverser la vapeur et frappe aux portes de ses voisins pour tisser des liens. En réponse, elle rencontre l’indifférence des uns, la solitude des autres, l’infidélité et l’amitié.

    Mon avis : Véronique est mère de trois garçons. Elle et son mari déménagent à Lyon, et elle espère retrouver dans un milieu citadin un nouvel objectif à sa vie.<o:p></o:p>

    Décidée à se créer de nouvelles amitiés, elle essaye de rencontrer les voisins de son immeuble. Pour être certaine de savoir à qui elle parle, elle crée un cahier dans lequel elle note les détails qu’elle connaît sur chacun des habitants de l’immeuble.<o:p></o:p>

    Si pour certains appartements, c’est le succès, il n’en est pas de même pour d’autres… Et pour un d’entre eux, ça va par contre plus loin qu’elle ne le souhaitait.<o:p></o:p>

    Je m’attendais à une histoire sympathique, faite de rencontres amicales, d’humour, et de petites situations agréables. Sans doute est-ce mon côté fleur bleue qui parle.<o:p></o:p>

    A la place, je me suis retrouvée face à une mère de famille perdue, ne sachant pas toujours sur quel pied danser, et s’engageant dans des situations dangereuses pour sa famille.<o:p></o:p>

    Véronique ne m’a pas plu, son caractère est instable, et j’ai eu l’impression tout au long du livre de l’entendre se justifier pour tout, plutôt que d’aller de l’avant. Ses enfants, même si elle les aime, lui pèsent. Son mari n’a pas les mêmes centres d’intérêt, et elle se plaint plus souvent qu’à son tour. Bref, je ne m’en ferais pas une amie….<o:p></o:p>

    Les autres personnages sont au final assez effacé. Et ceux que l’on rencontre un peu plus sont comme dessinés dans un moule : pas de fantaisies, pas de spontanéité. Les dialogues sont plats, sans réelles émotions. J’ai eu l’impression d’entendre une conversation mille fois répétée, au point que les interlocuteurs sont lassés. <o:p></o:p>

    Une seule personne a retenu mon attention, et malheureusement je n’en ai pas appris beaucoup plus : il s’agit de la SDF que Véronique trouve un jour dans son hall d’entrée. Elle me semblait cacher de lourds secrets, mais hélas, l’auteur ne leur a pas donné vie.<o:p></o:p>

    Je suis donc déçue de la lecture, même si je pense que l’idée de départ est bonne.<o:p></o:p>

    Points attribués : 6/10<o:p></o:p>


    Je remercie Agnès KARINTHA pour la lecture de son roman<o:p></o:p>
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  • Edition: Presses de la Cité
    Nombre de pages: 452 pages

    Résumé: Beryl Markham a deux ans lorsque sa famille s'installe au Kenya en 1904. Très vite abandonnée par sa mère, elle est élevée par son père – entraîneur de chevaux de course – et par les natifs de la tribu Kipsigi, qui vivent sur les terres paternelles. Cette éducation non-conventionnelle pour quelqu'un de son rang fait d'elle une jeune femme audacieuse et farouche, qui voue un amour sans bornes à la nature sauvage et se moque de la bienséance. De mariages ratés en liaisons contrariées – elle tombe éperdument amoureuse de Denys Finch Hatton, l'amant de l'auteure Karen Blixen –, Beryl va peu à peu s'imposer comme l'une des femmes les plus singulières de son temps. Elle sera la première aviatrice à accomplir un vol transatlantique en solitaire d'est en ouest... Avec pour décors les paysages majestueux de l'Afrique du début du XXe siècle, Paula McLain nous livre l'histoire d'une femme hors du commun qui n'aspire qu'à être libre.

    Mon avis : Beryl est arrivé à l’âge de 2 ans au Kenya. Si son père et elle se sont bien installés, sa mère et son frère sont repartis en Angleterre.<o:p></o:p>

    Elle grandit donc au contact d’une tribu africaine proche, entourées des chevaux de l’élevage de son père, et loin de ressembler à une jeune fille convenable comme l’entend la société, elle devient une jeune fille avec de l’ambition, de l’amour pour les cheveux et l’envie de mener sa vie comme elle l’entend.<o:p></o:p>

    Au lieu de cela, elle se retrouve obligée en quelque sorte de se marier, et se retrouve seule au Kenya. <o:p></o:p>
    Cette jeune femme  va choquer la bonne société, mais elle veut atteindre ses objectifs.<o:p></o:p>

    J’ai adoré le voyage au Kenya ! Un dépaysement complet, j’ai senti la terre d’Afrique sous mes pieds, j’ai entendu les chevaux, j’ai écouté les chants africains.<o:p></o:p>

    J’ai été complètement mise en situations par les descriptions du livre. L’auteur transporte ses lecteurs dans son territoire, à côté des personnages qui vivent dans ces pages.<o:p></o:p>

    Le livre est bien écrit, fluide, avec suffisamment de descriptions et d’anecdotes historiques pour que le lecteur puisse se placer correctement dans l’histoire. Les dialogues sont nombreux, les interractions sont bien décrites, et Beryl est désespérément attachante. Si jeune, si vive, et si décidée surtout.<o:p></o:p>

    Même en ne lisant pas le livre, je continuais à penser à Beryl et à ses péripéties. Les hauts et les bas de sa vie, ses réussites et ses déceptions, et l’entourage dont Karen Blixen, si célèbre pour son livre La ferme africaine.<o:p></o:p>

    En ayant terminé ce livre, et en ayant lu la note de l’auteur, je n’ai eu qu’une envie : faire des recherches sur la véritable Beryl Markham et le livre qu’elle, elle aussi, écrit, mais qui n’a malheureusement pas eu autant de succès que celui de son amie.<o:p></o:p>

    Bref, voilà un livre magnifique, que je ne regrette absolument pas d’avoir découvert. Il est magnifique, m’a laissé rêveuse même après l’avoir terminé, et j’ai eu du mal à partir d’Afrique.<o:p></o:p>

    C’est un signe que ce livre est un vrai gros coup de cœur pour moi.<o:p></o:p>

    Points attribués : 10/10<o:p></o:p>


    Je remercie l’édition Presses de la Cité pour cette lecture africaine.<o:p></o:p>

    Petit bonus



    Denys Finch Hatton


    Beryl Marckham


    Karen Blixen

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